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Monday, September 15, 2008

Sonnet CCLIX

Si tout le monde me fuit, je vendrai tout mes pleurs.
Et si personne n’achète mes pleurs, je les boirai.
Ainsi, les pleurs que j’aurai bu mettent à pleurer,
et dans cette belle façon, je flotte, je noie, je meurs.
Comme ça je pense, je meurs. Ce n’est pas franc de l’or,
mais tout le monde ne voient pas plus ma tristesse laide.
Peut-être inondés comme moucherons de mai,
ils semblent comme les grands aveugles, sans ses cœurs.

Ainsi, j’ondule à tout mes océans qui passe,
et même dans le décès je les regarde en masse.

Les océans me semblent comme les vrais amis:
ils recueillissent mes larmes comme souvenirs;
ils ne protègent de mal, monstrueux, nuisible, pire,
avec sa forte puissance qui mange mon corps et ri.

5 comments:

  1. Bonne Année, Mike!

    Votre sonnets sont incroyables et j'ai vraiment aimé celui-ci. (J'études à l'Lycée Français International.)

    Michael.

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  2. Bonne Année, Michael! C'est vrai que tu étudies à l'Lycée Français International? C'est interessant! Merci pour ton encouragement!

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  3. I'm having so much trouble interpreting the meaning of this one.... ;)

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  4. Hmmm...the fact it's written in a foreign language probably doesn't help.... ;)

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A word is dead
When it is said,
Some say.

I say it just
Begins to live
That day.

- Emily Dickinson

Thanks, Wordle!